dimanche 28 décembre 2014

Remboursement des bas de contentions

Pendant la grossesse nous sommes soumisses a une sensations de jambes lourdes du a une mauvaise circulation sanguine. Votre médecin peut donc vous prescrire des bas de contention pour aider le retour veineux. Ils constituent le meilleur moyen pour prévenir l’apparition des varices et des éventuelles complications liées aux pathologies d’insuffisance veineuse comme la thrombose veineuse ou l’embolie pulmonaire ou de phlébites

Les bas de contentions sont ils rembourser par la sécurité sociale? 

Si vous avez une prescription médical il vous seront rembourser par la sécurité social. Attention tout aux dépassement pratiqué par certaines pharmacie. 

En effet la sécurité social rembourse jusqu'à un montant maximal. 

Ainsi, 
Pour les chaussettes de contention la base du remboursement s’élève à 22,40€
Pour les bas de contention,  la base du remboursement s’élève à 29,78€
Pour les collants de contention la base du remboursement s’élève à 42,03€



La plupart des mutuelles ou organismes d’assurances complémentaires prennent en charge le complément pour l’achat d’articles de contention veineuse. Sinon il vous suffit de trouvez des pharmacie qui ne font pas de dépassement. Faites en plusieurs, ça existe notamment avec la marque Thusane. J'ai eu des bas de contentions récemment et je n'ai pas de mutuelle et je n'ai rien eu a payer car ma pharmacie ne fait pas de dépassement. 

En fin, sachez qu'il existe des collant de contention spécial grossesse, dit collant de maternité. Vous y serez plus à l'aise au niveau des hanches et du ventre. 

samedi 27 décembre 2014

video déroulement de l'accouchement

Voici une vidéo qui vous montre comment ce passe un accouchement.

https://www.facebook.com/video.php?v=843904482319933&fref=nf

Rendez vous anesthésiste au 8ème mois de grossesse

Pourquoi prendre rendez-vous avec l'anesthésiste ?

  • Obligatoire depuis 1998, cette consultation est indispensable même si vous ne souhaitez pas avoir de péridurale. L'équipe médicale peut, en effet, avoir besoin de pratiquer une anesthésie. Parfois en urgence, s'il s'agit d'une césarienne non programmée, par exemple.

Quand consulter l'anesthésiste ?

  • La consultation se déroule habituellement au 8e mois de grossesse, sauf en cas de problèmes particuliers décelés plus tôt, par exemple des antécédents allergiques ou des risques cardiovasculaires. Dans ces cas, la visite se fait en général au 6e ou au 7e mois.

Comment ça se passe ?


  • Vous êtes reçue individuellement à la maternité où vous devez accoucher. Le médecin anesthésiste procède à un interrogatoire complet et à un examen médical. Il vérifie votre bilan sanguin, votre tension, examine vos antécédents et vous prescrit, le cas échéant, des analyses sanguines complémentaires.Dans certaines maternité vous aurez un questionnaire a remplir préalablement. 
  • N'hésitez pas à l'interroger sur les différentes techniques d'anesthésie et notamment sur la péridurale, un geste efficace et bien sécurisé aujourd'hui, qui permet de surcroît d'optimiser les conditions d'accouchement. Il existe des contre-indications à la péridurale que l'anesthésiste vous expliquera.
Safia Amor avec le Dr Frédéric Mercier, médecin-anesthésiste à l'hôpital Antoine-Béclère de Clamart.
© Enfant Magazine

N'ayez plus peur de la péridurale

• La « piqûre » ne fait pas mal car l'injection est précédée d'une petite anesthésie locale.• Les maux de dos redoutés sont liés à la grossesse et à l'accouchement, et non à l'anesthésie.• Une bonne fois pour toutes : les risques de paralysie sont quasi nuls !

lundi 1 décembre 2014

Péridurale : avantages et effets secondaires

Coucou les mamans et si on parlait de la péridural. A ce qui parait une vrai merveille, un vrai progrès au niveau de la douleurs mais on ne parle pas assez souvent des conséquences de cette piqûre "magique"


L'anesthésie péridurale ne présente pas de contre-indications dans 99% des cas, mais il existe certains cas dans lesquels il vaut mieux ne pas la pratiquer.

La péridurale : quand peut-on la réaliser ?
L'anesthésie péridurale non seulement n'est pas contre-indiquée dans 99% des cas, mais elle est recommandée pour les femmes qui souffrent de certains problèmes comme de diabète, d'hypertension, de toxémie gravidique, de décollement de la rétine, de myopie grave ou de cardiopathie et qui veulent éviter une césarienne.
Mais la péridurale ne peut pas être administrée s'il existe des maladies de coagulation, des altérations de la colonne vertébrale (comme une hernie discale), des infections graves généralisées ou localisées dans le dos (comme un zona), des maladies du foie, la prise d'anticoagulants ou l'intolérance aux anesthésiques.
Pour établir la faisabilité de ce type d'anesthésie, la future maman devra réaliser des analyses sanguines spécifiques avant la grossesse.

Les effets secondaires qui dérivent de la péridurale sont légers et ne se produisent que dans des cas exceptionnels :
- Baisse transitoire de la tension artérielle.
- Sensation de démangeaison.
- Fourmis et lourdeurs dans les jambes.
- Difficultés à uriner.
- Maux de tête.
L'influence de la péridurale au moment de l'accouchement :
- L'absence de sensations dans le petit bassin amène certaines mères à ne plus percevoir facilement le moment où il faut pousser (c'est-à-dire au moment d'une contraction). Parfois, l'envie de pousser est tout simplement diminuée. La conséquence est l'utilisation plus fréquente des forceps

Mais les avantages de la péridurale sont bien plus intéressants. En effet, la péridurale :
- L'avantage majeur est évidemment l'absence de douleurs, sans ôter les sensations, avec le bénéfice d'être parfaitement conscient et disponible pour l'événement. Accueillir son bébé dans le calme et la douceur apporte un terrain franchement favorable pour faire connaissance avec lui.

- Ensuite, l'absence de douleurs permet de se concentrer uniquement sur les efforts de l'expulsion, et donc d'être moins épuisée à la sortie, c'est également un bénéfice non négligeable.

- L'expression physiologique de la douleur est importante en dehors de l'anesthésie, du point de vue de l'oxygénation de la maman et de l'enfant, au point de vue des variations hormonales et cardiaques. L'anesthésie permet donc de maintenir constantes les fonctions vitales, et donc de diminuer les aspects nocifs de cet effort intense, pour la mère mais également pour l'enfant qui est en train de naître.

- Le fait de ne pas souffrir permet à la future maman d'être disponible, à l'écoute de ses sensations, et à l'écoute de la sage-femme, le travail n'en devient que plus efficace, et l'expulsion moins longue.

- Dans les jours qui suivent, la fatigue n'est pas aussi intense que lors d'un accouchement sans péridurale.
La récupération est tout de même plus facile.

- Est idéal si, en cas de complication, on doit vous faire une césarienne en urgence car, dans ce cas, la patiente est déjà anesthésiée et on ne perd pas de temps à la préparer pour l'intervention.
Je vous conseil de vous rendre sur ce lien, il y a 3 vidéos qui expliquent le déroulement de la péridural. ( qu'est ce que la péridural, la péridural en pratique et pour ou contre la péridural)

Pour ma part, ma péridural s'est super bien passé, et cela ne fait ABSOLUMENT  pas mal, il ne faut pas avoir peur ni de craintes et détendez vous ça se passera à merveille; je n'ai pas senti n'i la piqûre anesthésiante, ni la pose du cathéter. Appréhender le fait que la péri doit être posé entre deux contraction mais si vous ne vous stresser pas et que vous respirez bien pour vous détendre il n'y a aucun souci.

Je n'ai pas eu de soucis par la suite, juste un peu mal au dos mais c'est du à l'accouchement et un peu quand je toucher mon dos ou niveau du cathéter. Je ne regrette pas le choix de la péridural. 


Dépistage du diabète gestationnel

Test O’sullivan, hyperglycémie provoquée par voie orale : comment se passe le dépistage du diabète ?

Si les facteurs de risque sont importants (obésité importante, nombreux cas de diabète dans la famille), le médecin ou la sage-femme peuvent dès le premier trimestre prescrire une prise de sang à jeun pour doser le sucre dans le sang. Si la valeur est supérieure ou égale à 0,92 g/l, il s’agit d’un diabète gestationnel.
 Sinon, le test est réalisé entre 24 et 28 SA (22 et 26 semaines de grossesse). Pour le O’sullivan,(test pratiqué avant)  la future maman ingérait 50 g de glucose (une boisson très sucrée, pas très agréable à boire pouvant occasionner quelques nausées) puis une heure après, faisait une prise de sang. Le test HGPO (test qui est recommandé aujourd’hui) est pratiqué en trois temps : une première prise de sang à jeun (H0), une seconde prise de sang une heure après avoir bu 75 g de glucose (H1), puis une troisième prise de sang deux heures après ingestion du glucose (H2). Comme vous n’avez pas le droit de sortir du labo, mieux vaut donc prévoir un peu de lecture !

Hyperglycémie provoquée par voie orale : Que faire en fonction des résultats ?Si la glycémie atteint ou dépasse l’une des 3 valeurs suivantes, un diabète gestationnel est diagnostiqué :
-       H0 : 0,92 g sucre /l de sang
-       H1 : 1,80 g/l
-       H2 : 1,53 g/l  

Quel suivi en cas de diabète gestationnel ?En cas de diabète gestationnel, la future maman devra suivre un régime et pratiquer une activité physique régulière adaptée à la grossesse. Généralement, ces mesures permettent de retrouver une glycémie proche de la normale. Parallèlement, la croissance fœtale est surveillée de façon accrue avec des échographies régulières.
« Si la glycémie reste élevée malgré ces mesures hygiéno-diététiques, la future maman devra avoir des injections d'insuline et surveiller sa glycémie 4 fois par jour avec un lecteur de glycémie capillaire (petites piqures dans le doigts) », poursuit notre expert. Le bébé sera encore plus étroitement suivi avec des échographies régulières pour contrôler sa croissance et sa vitalité. « En cas de diabète gestationnel, il y a en effet risque de gros bébé, de retard de croissance in utéro, etc. Les complications de l’accouchement sont aussi plus fréquentes, notamment en raison du poids important du bébé », ajoute le gynécologue.
Le diabète gestationnel et son dépistage ne sont pas à prendre à la légère. Ce test, aussi désagréable soit-il, est pour le bien de la maman et son bébé, pas pour l’embêter ! « Il est important de bien se faire suivre, »  insiste le Pr Jacques Lansac. « Il en va de la santé du bébé mais aussi de celle de la maman durant la grossesse mais aussi à l’avenir ». Une femme ayant fait un diabète gestationnel a en effet plus de risque de développer un diabète de type 2 plus tard si elle ne modifie pas son hygiène de vie.


le diabète gestationnel

Qu'est-ce que le diabète gestationnel ?


Le diabète gestationnel est une maladie transitoire, qui apparaît pendant la grossesse et peut disparaître après l’accouchement (contrairement aux diabètes de type 1 et de type 2 qui restent à vie). Il se traduit par une résistance à l’insuline. Cette hormone est produite par le pancréas et a pour fonction de réguler le taux de glucose dans le sang, en permettant son entrée dans les cellules où il est transformé en énergie. Chez une personne insulino-résistante, ce fonctionnement est perturbé : l'insuline sécrétée par le pancréas n'a que peu d'effet sur les récepteurs cellulaires. Le glucose ne pénètre donc presque plus dans les cellules et s'accumule dans le sang. La glycémie augmente alors et provoque une hypersécrétion de l'insuline du pancréas.


Le diabète est-il systématiquement dépisté pendant la grossesse ?

Non, les tests sont uniquement proposés en cas de facteurs de risque :

  • si vous avez plus de 35 ans,
  • si vous êtes en surpoids (indice de masse corporelle > 25),
  • si vous avez déjà souffert d’un diabète gestationnel ou avez déjà eu un bébé de plus de 4kg,
  • si vous avez ou des antécédents familiaux de diabète.
  • Le dépistage peut être fait au premier trimestre par une glycémie à jeun. Si le taux de sucre est supérieur à 0,92 g par litre de sang, un test de charge en glucose sera fait entre 24 et 28 semaines d'aménorrhée. Il se déroule sur 2 heures avec 75 g de glucose, toujours à jeun. Les valeurs normales sont : un taux de glucose < 0,92g à jeun, 1,80 g à 1h et 1,53 à 2h. Les futures mamans souffrant de diabète gestationnel sont prises en charge par une équipe spécialisée.

    Quels sont les symptômes du diabète gestationnel ?

    Chez la plupart des femmes, le diabète gestationnel est asymptômatique : il ne se traduit par aucun signe particulier. D’où l’importance de se soumettre aux tests de glycémie proposés pendant le deuxième trimestre de la grossesse. Dans de rares cas, les femmes enceintes souffrant de diabète sont fatiguées, ont des envies fréquentes d’uriner et ont très soif.

    Comment traite-t-on le diabète gestationnel?

    Votre gynécologue-obstétricien ou l’endocrinologue que vous verrez à l'hôpital vous donneront des conseils pour contrôler le taux de glucides dans votre sang. Vous devrez, certainement, limiter les aliments sucrés, notamment les sucres rapides (comme la confiture) et suivre un régime particulier (environ 1600 calories par jour). Afin de ne pas fatiguer votre corps, il vous sera conseillé de fractionner vos prises alimentaires plutôt que de prendre trois grands repas. Chez certaines patientes, ces mesures sont insuffisantes. Elles peuvent se voir prescrire des injections d'insuline à faire elles-mêmes (l’équipe hospitalière est alors là pour leur montrer comment s’y prendre). Quel que soit le degré de gravité du diabète gestationnel, votre bébé sera suivi de très près et vous aurez de fréquentes échographies pour contrôler son évolution.

    Est-il vrai que le sport est tout indiqué ?

    Oui. Faire de l'exercice est important et l'équipe médicale qui vous suit vous expliquera comment l'inclure dans votre vie quotidienne. Vous pourrez trouver des idées d'exercices adaptés dans notre article sur le sport doux pendant la grossesse. Des études montrent que l'exercice aide à contrôler son taux de glucose et que le sport avant la grossesse permet de se prémunir du diabète gestationnel.

    Est-ce que ce diabète va affecter ma grossesse ?

    Le principal inconvénient d'un taux de glucose élevé est la transmission du sucre au bébé via le placenta. Il risque de prendre trop de poids. Un gros bébé rend l'accouchement plus difficile et augmente la probabilité du recours à une césarienne. Certains chercheurs estiment que les gros bébés seraient plus enclins à l'obésité. Ils seraient aussi plus exposés à développer du diabète à l'âge adulte.

    Qui sont les femmes les plus à risque ?

    Les femmes ayant souffert de diabète gestationnel lors d'une précédente grossesse Les femmes qui ont déjà donné naissance à un ou plusieurs gros bébés Les femmes en surpoids (avec un Indice de Masse Corporel supérieur à 25) Les mères de plus de 40 ans Les femmes dont un parent, un frère ou une sœur est diabétique insulinodépendant Les femmes d'origine asiatique, indienne, afro-caribéenne, ou du Moyen-Orient

    Et après la naissance de mon enfant, aurai-je encore du diabète ?


    Trois mois après la naissance de votre bébé, votre médecin vous prescrira des examens de contrôle. Votre taux de glucose sera probablement revenu à la normale. 

    http://www.babycenter.fr