jeudi 30 octobre 2014

Coffret cadeau offert aux futures mamans

Les magasin orchestra Puériculture vous offre un coffret avec des divers produits si vous attendez un enfant.

Pour cela rendez vous dans un magasin orchestra disposant d'un rayon puériculture ( si vous allez dans un orchestra simple vous ne pourrez recevoir votre coffret ) , de votre certificat de grossesse et du coupon.


coupon à imprimer


Vous recevrez votre coffret, dans le mien il y avait un petite bouteille d'eau Mont roucous, un bavoir, un doudou, deux sucette et des pub orchestra. 
Bon cadeau à vous 

jeudi 9 octobre 2014

Risque de listéria dans le Jambon carrefour! Attention DANGER


RAPPEL DE PRODUIT – Des tests sanitaires effectués sur un jambon Carrefour bio ont révélé la présence de Listeria monocytogènes. Les magasins du groupe rappellent ce produit.

Risque de listériose avec du jambon Carrefour bio.
Les magasins Carrefour procèdent au rappel de paquets de jambon cuit supérieur « découenné et dégraissé » Carrefour bio. Un contrôle sanitaire, réalisé au sein de la société Fumagalli Industria Alimentari qui produit cette charcuterie, a mis en évidence la présence de Listeria monocytogènes. Ces bactéries sont responsables de la listériose, une maladie particulièrement grave chez les femmes enceintes, ainsi que chez les sujets immunodéprimés et les personnes âgées.
Le lot concerné par ce rappel porte le numéro 149 259. Il s'agit d'un jambon vendu par paquets de quatre tranches (100 g), au rayon traditionnel charcuterie. La date limite de consommation est le 16/10/2014.
Carrefour invite ses clients à détruire le produit ou à le rapporter en magasin pour un remboursement. Le groupe met un numéro à disposition pour tout renseignement complémentaire : le 09 69 39 70 00.
Par Thomas Levy articlle du site répononse conso 

Les mamans partagé un maximum. 

lundi 6 octobre 2014

Bracelet d'allaitement / de biberon

Le bracelet d’allaitement / biberon qu'est ce que s'est?

Ce bracelet allie la praticité et la beauté du bijoux.


Ce bracelet à pour fonction de remplacer votre papier et crayon. Au lieu d'écrire l’heure de prise et le sein si vous allaitez, vous vous servez du bracelet.

Le principe est simple, le bracelet est composé de différente perles. Les perles chiffres pour les heures, les petites perles grises pour les quarts- heure et les grosses perles de couleurs pour les demis-heures.

Voici un exemple :

La breloque tétine sert de repère pour l'heure, il vous suffit de la placer à l'heure de la prise. Ici la prise à été a 9h45 ( il y a la perle de l'heure "9" puis la perle quart d'heure, la perle demi heure et la perle quart d'heure ce qui fait 45min et donc 9h45. 



Ici avait vous trouver l'heure de prise?



heure de prise 4h45, cela peut être aussi 16h45.

Ensuite si vous allaiter pour savoir quel sein vous avez donné, il suffit de mettre la bracelet au poignet correspondant au sein donné. Si vous avez donné le sein gauche, placer le bracelet au poignet gauche.


C'est un cadeau original pour les futures mamans qui les surprendront à coup sur.

Profiter de l'offre de lancement vous pouvez acheter ce bracelet pour 8€, en me contactant en message privé

jeudi 2 octobre 2014

les droit de la salariée enceinte

La salariée n'a pas d'obligation légale d'informer l'employeur de sa grossesse.  La loi prévoit uniquement l'obligation d'informer l'employeur avant de partir en congé maternité.
La salariée enceinte n'est donc pas tenue de révéler sa grossesse auparavant :
  • ni au moment de l'embauche (même pour un CDD ),
  • ni pendant l'exécution du contrat de travail.
La salariée peut informer son employeur de sa grossesse au moment où elle le souhaite, par écrit ou verbalement. Cependant, tant qu'elle n'a pas prévenu son employeur, elle ne peut pas bénéficier des avantages légaux (et conventionnels, s'il en existe) tels que, par exemple :
  • la protection contre le licenciement,
  • les autorisations d'absence pour examens médicaux sans baisse de la rémunération,
  • la réduction du temps de travail quotidien.  


  1. La protection contre le licenciement 

Licenciement d'une salariée enceinte


La salariée enceinte bénéficie d'un régime protecteur applicable si l'employeur envisage son licenciement. Ainsi, l'employeur ne peut pas licencier une salariée au motif qu'elle est enceinte (ou en congé maternité). La protection est absolue ou relative, elle varie en fonction de la situation de la salariée.


Avant le congé de maternité

Dès lors que l'employeur a connaissance de la grossesse d'une salariée, il ne peut pas la licencier, sauf s'il justifie :
  • soit d'une faute grave de la salariée, à condition qu'elle ne soit pas liée à sa grossesse,
  • soit de son impossibilité de maintenir ce contrat pour un motif étranger à la grossesse ou à l'accouchement (par exemple, en cas de motif économique justifiant la suppression du poste).
Par conséquent, en dehors de ces motifs, une procédure de licenciement en cours est annulée à condition que la salariée envoie à son employeur un certificat médical justifiant qu'elle est enceinte et indiquant la date présumée de l'accouchement.
Le certificat est envoyé par lettre recommandée avec avis de réception, dans les 15 jours à compter de la notification du licenciement. La réintégration de la salariée enceinte dans l'entreprise doit avoir lieu au plus vite, après réception par l'employeur du certificat.


Pendant le congé de maternité

Pendant le congé de maternité, la salariée bénéficie d'une protection absolue (même en cas de faute grave ou licenciement économique, notamment). Ainsi, le licenciement ne peut ni être notifié à la salariée pendant le congé, ni prendre effet pendant le congé, même s'il a été notifié avant le début du congé.
La protection de la salariée en congé de maternité est absolue, qu'elle use ou non de son droit au congé. Par exemple, la salariée qui écourte son congé et reprend son activité 6 semaines après son accouchement alors qu'elle bénéficiait d'un droit à 10 semaines de congé reste totalement protégée jusqu'à l'expiration des 10 semaines.


À l'issue du congé de maternité

Pendant les 4 semaines qui suivent l'expiration du congé de maternité, la protection prévue avant le début du congé est de nouveau applicable.
À savoir : tout salarié en congé d'adoption bénéficie de la même protection qu'une salariée en congé maternité, que ce soit avant, pendant ou après le congé.


2. Les autorisations d'absences aux examens médicaux 


Une salariée enceinte peut-elle s'absenter pendant les heures de travail ?


Oui, la salariée a droit à une autorisation d'absence pour se rendre auxexamens médicaux (prénataux et postnataux) obligatoires prévus par l'assurance maladie. Ces absences sont considérées comme étant du temps de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés et au titre de l'ancienneté. Ces absences ne doivent pas entraîner une baisse de la rémunération.
La salariée doit pouvoir présenter tout justificatif de son absence, si l'employeur le demande.
À noter : le conjoint, le partenaire pacsé ou le concubin salarié de la femme enceinte bénéficie aussi d'une autorisation d'absence pour se rendre à 3 de ces examens médicaux.

3. La réduction du temps de travail 
La loi ne prévoit pas de réduction d'horaire pour la salariée enceinte.
Cependant, de nombreuses conventions collectives ouvrent droit à réduction d'horaire pendant tout ou partie de la grossesse, à des conditions qui varient en fonction de chacune d'elles. À défaut, ce droit peut être prévu par un accord collectif, un usage ou un arrangement avec l'employeur.

4. Une salariée enceinte peut-elle refuser d'effectuer certaines tâches ?


Oui. Toute salariée enceinte bénéficie d'une protection spécifique qui l'autorise à refuser d'effectuer certains travaux. Cette protection est applicable lorsque ces travaux exposent la salariée à des risques incompatibles avec une grossesse ou avec son état de santé.

En cas de poste exposé à certains risques

Bénéficiaires

Certains travaux exposant la salariée enceinte à des risques pour sa santé sont interdits, parmi lesquels :
  • l'usage du diable pour le transport de charges,
  • les travaux exposant aux agents chimiques dangereux, aux rayonnements ionisants, au virus de la rubéole ou toxoplasme.

Mesures proposées

L'employeur est tenu de proposer un autre emploi compatible avec la grossesse de la salariée. Cette proposition d'emploi est réalisée au besoin par la mise en œuvre de mesures temporaires telles que :
  • l'aménagement de son poste de travail,
  • ou l'affectation dans un autre poste de travail.
Les mesures prises ne doivent entraîner aucune diminution de rémunération.

Mesures impossibles

Si l'employeur est dans l'impossibilité de proposer à la salariée un autre emploi, il doit l'informer par écrit des motifs empêchant le reclassement. Dès lors, le contrat de travail est suspendu jusqu'à la date de début du congé de maternité, puis pendant 1 mois maximum après le retour du congé postnatal.
Durant la suspension du contrat, la salariée bénéficie d'une garantie de rémunération, composée des éléments suivants :
  • allocations journalières versées par la caisse primaire d'assurance maladie (CPAM),
  • complément de salaire à la charge de l'employeur.

En cas d'état de santé précaire

Affectation sur un autre poste

Si son état de santé l'exige, la salariée enceinte peut être affectée temporairement à un autre emploi, à son initiative ou à celle de l'employeur. L’état de santé doit être médicalement constaté par le médecin du travail ou le médecin traitant.
En cas de désaccord entre l'employeur et la salariée, ou lorsque le changement intervient à l'initiative de l'employeur, seul le médecin du travail peut prescrire une affectation sur un autre poste.
Si l'affectation est proposée dans un autre établissement, l'accord de la salariée est obligatoire.
Le changement d'affectation ne doit entraîner aucune diminution de rémunération.
À savoir : les conventions collectives peuvent prévoir des aménagements d'horaires (réduction de la durée du travail, temps de pause supplémentaires).

Terme de l'affectation

Cette affectation prend fin dès que l'état de santé de la salariée lui permet de retrouver son emploi initial (et, au plus tard, au terme de la grossesse). À l'issue du congé de maternité, la salariée qui a bénéficié d'une affectation temporaire doit être réintégrée dans l'emploi qu'elle occupait auparavant.

déclaration de grossesse à l'employeur

La déclaration de grossesse à l'employeur ne fait l'objet d'aucune obligation légale.

Tout d’abord, la déclaration de grossesse à l’employeur ne fait l’objet d’aucune obligation légale. De plus, aucun délai ne vous est imposé pour la faire.

Mais dans les faits, il convient de ne pas trop tarder afin de permettre à votre entreprise de s’organiser en prévision de votre absence, et surtout, pour ne pas vous priver de certains droits.

Toutefois, l’annoncer de « vive voix » ne suffit pas. Il faut y mettre les formes et aviser votre employeur par lettre recommandée avec accusé de réception. Celle-ci doit être accompagnée d’un certificat médical (à demander lors de votre1er examen prénatal) confirmant votre état, précisant la date présumée de votre accouchement et permettant de dater le début de votre congé maternité légal. Ce courrier peut également être remis en mains propres.

Une fois votre employeur ayant connaissance de votre grossesse 
 Vous avez droit automatiquement au congé maternité légal. A savoir : au minimum 8 semaines (2 semaines avant et 6 semaines après).  

• Vous ne pouvez pas être licenciée, sauf pour faute grave. Et cette disposition vous protège au retour de votre congé maternité, (4 semaines après la reprise du travail).  

• Vous pouvez, à certaines conditions et avec un certificat médical, demander une modification de vos conditions de travail, voire un changement de poste si celui-ci s’avère trop pénible ou contre-indiqué.  

• Vous pouvez également prétendre à un aménagement de vos horaires et à des autorisations d’absence pour effectuer vos visites et vos examens. Dans certaines entreprises, il existe même des dispositions particulières concernant les plages horaires des femmes enceintes. Renseignez-vous auprès de la direction du personnel. 

• Enfin si vous êtes en plein processus d’embauche, vous n’êtes pas légalement tenue de prévenir que vous êtes enceinte.  

Vous avez le droit de vous absenter de votre travail pour vos rendez vous médicaux. Vous serez payer même si vous n'êtes ps présente à votre poste

ce que dit la lOI 
 la salariée a droit à une autorisation d'absence pour se rendre auxexamens médicaux (prénataux et postnataux) obligatoires prévus par l'assurance maladie. Ces absences sont considérées comme étant du temps de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés et au titre de l'ancienneté. Ces absences ne doivent pas entraîner une baisse de la rémunération.
La salariée doit pouvoir présenter tout justificatif de son absence, si l'employeur le demande.
À noter : le conjoint, le partenaire pacsé ou le concubin salarié de la femme enceinte bénéficie aussi d'une autorisation d'absence pour se rendre à 3 de ces examens médicaux.

Gardez surtout une chose en tête : attendre un bébé, et plus tard être maman, ne doit pas vous mettre à l’écart des primes, des promotions ou des changements de statuts. Votre employeur doit vous considérer exactement comme les autres membres de son équipe.

Votre déclaration de grossesse doit impérativement être transmise avant la fin de la 14ème semaine de grossesse à la CAF et à la CPAM de votre lieu de résidence. Pour prévenir votre employeur, vous n’avez ni délai précis, ni obligation légale. Cependant, vous avez tout intérêt à ne pas trop attendre afin de bénéficier de vos droits et des éventuels aménagements prévues par la loi pour ménager les femmes enceintes.

Examens du 4ème mois de grossesse


Ce second examen est capital. Au cours de celui-ci, votre praticien vous pèsera, vérifiera votre tension artérielle, procédera à un examen d'urines. L'état de votre col et le rythme cardiaque de votre bébé sera également contrôlé.
Votre médecin va vous poser un certain nombre de questions habituelles :
  • Sentez-vous le bébé bouger ?
  • Avez-vous des saignements ?
  • Avez-vous des pertes ?
  • Avez-vous des contractions, des douleurs ?
  • Avez-vous des problèmes pour uriner ?
  • Avez-vous de la fièvre ?
L'examen se poursuit par la prise de poids. 
Le médecin prendra également votre tension artérielle, qui doit rester normale (grossesse souvent un peu basse) pendant toute la pression.
La hauteur de l'utérus est mesurée par un centimètre souple, cela permet de s'assurer de la bonne croissance du bébé.
Un examen vaginal permet de vérifier l'état du col, et de s'assurer en particulier que celui ci n'est pas trop ouvert.
L'activité cardiaque est enregistrée par un petit appareil à ultrasons ou par échographie, ce qui vous permet à nouveau d'entendre ce rythme rapide et si particulier des battements de coeur de votre bébé.

Les sérologies toxoplasmose et rubéole et RAI sont vérifiées et leur taux contrôlé.
Un examen d'urine permet de vérifier l'absence de sucre et d'albumine.
votre médecin pourra vous prescrire un traitement par fer pour recharger vos batteries.


Informations complémentaires 
Sauf avis contraire de votre gynécologue, vous pouvez continuer à avoir une vie sexuelle identique à celle que vous aviez avant d'être enceinte.

En cas de constipation : Pensez à boire régulièrement et à manger suffisamment de fibres. Un petit laxatif, doux, type suppositoires à la glycérine, peut aider ponctuellement, mais évitez-en l'usage systématique. Buvez de l'eau et faites un peu d'exercice, ce qui vous aidera à résoudre ce petit problème.

Peut être que certaines chanceuses pourront voir bébé à l'écho et savoir le sexe. Si votre gynécologue ne vous fait pas d'écho ne vous inquiétez pas c'est tout à fait normale, elle n'est pas prévue pour le 4ème mois, vous reverrez bébé au 5ème mois. Patience...